DDT: Hymne

Гимн, ДДТ
Это гимн просвещенной отчаянной жизни
Он – про двери и пропасть черты.
Это ритмы поминок и празничной тризны
Где тостуешь все еще ты.
C’est l’hymne d’une vie éclairée et désespérée
Il est sur les portes et les lignes de l’abîme.
Ce sont les rythmes des funérailles et la fête d’enterrement
Où tu portes encore et toujours des toasts.
Мокрых серых прохожих пугливая стая
Вскрикнув крыльями скрылась во тьме.
Я сквозь стены иду и в руках согреваю
То, что дорого, дорого мне.
По земным и небесным скитаясь дорогам
Я храню эту каплю тепла.
И пока она есть, я доволен немногим
Наша жизнь дорогая, светла.
La troupe peureuse des passants gris et mouillés
Ayant poussé des cris avec les ailes a disparu dans l’obscurité.
Je passe à travers les murs et dans les mains je réchauffe
Ce qui est cher, qui est cher à mes yeux.
Errant par les routes de la terre et du ciel
Je garde cette goutte de chaleur.
Et tant qu’elle est là, je suis heureux avec peu
Notre vie est claire et chère.
Отражаются черной ширинкой – неволей
Колоннады – злой шёпот в глазах.
Пресс титана сведен – море пота и соли
Мойка в мраморных белых узлах.
Волн, несущихся мимо Авроры к закату,
Где пространством скуля на цепи.
Как к хозяину-суке к еде богу-брату
Рвется небо к тебе подойти.
Elles se reflètent en un braguette noire – l’esclavage
Des colonnades sont un méchant murmure dans les yeux .
Une presse de titane est menée – une mer de sueur et de sel
Un lavage dans des nœuds de marbre blanc.
Des vagues se précipitant à coté de l’aurore vers coucher du soleil,
Là où par l’espace on pleurniche enchaîné.
A s’approcher de toi, comme du maître-chien au repas pour Dieu-frère, le ciel se déchire.
Умирают, кружась и смеясь, светотени
Разбиваясь о старый гранит.
Я присел у воды на живые ступени –
Пусть себя этот город хранит.
Ils meurent en tourbillonnant et riant, dans la pénombre
Se brisant sur du vieux granit.
Je me suis assis près de l’eau sur des marches vivantes
Que cette ville puisse se garder.
Мокрых серых прохожих пугливая стая
Крикнув крыльями, скрылась во тьме.
Я сквозь стены иду и в руках согреваю
То, что дорого, дорого мне.
По земным и небесным скитаясь дорогам
Я храню эту каплю тепла.
И пока она есть, я доволен немногим
Наша, безусловно, светла.
La troupe peureuse des passants gris et mouillés
Ayant poussé des cris avec les ailes a disparu dans l’obscurité.
Je passe à travers les murs et dans les mains je réchauffe
Ce qui est cher, qui est cher à mes yeux.
Errant par les routes de la terre et du ciel
Je garde cette goutte de chaleur.
Et tant qu’elle est là, je suis heureux avec peu
Notre vie est claire et chère.

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