Cette chanson de Diana Arbenina est toute récente. Elle n’est pas franchement joyeuse ni très simple à traduire (les écrevisses qui sifflent sur la colline évoquent un événement qui n’est pas prêt de se produire voir qui ne se produira jamais).
что мы делали прошлым летом , я забыла и звонки ни к чему, скажу больше, лучше не надо головокружительно быстро, как мячик в пинг-понге, я разлюбила не говори о нас, не вспоминай о нас мускусом пахнет прошлое, ромом ботинки плевать, что все раки пятятся, свистят на горе идиотами обиды несёт каруселями, горит обнажёнными нервами, что мы делали прошлым летом, я забыла мускусом пахнет прошлое, ромом ботинки |
Ce que nous avons fait l’été dernier, je l’ai oublié et les appels pour rien, je dirai qu’il vaut mieux pas vertigineusement rapide, comme une balle de ping-pong, mon amour est passé ne parle plus de nous, ne te rappelle plus de nous Le passé sent le musc, les chaussures le rhum Je me fiche que les écrevisses marchent à reculons, et sifflent sur la colline avec les idiots Les offenses sont portées par des carrousels, ça brûle les nerfs à vif
|