Cette chanson du groupe Arkadi Kotz est basée sur une musique datant de la guerre d’Espagne reprise par les résistants polonais et maintenant les russes.
La version suivante est assez célèbre, elle est enregistrée dans un fourgon de police avec des personnes coffrées dans les rues en 2012.
Voici maintenant le texte:
«Однажды дед говорил мне, Когда светало вдали, Мы с ним у дверей стояли, И телеги мимо ползли.Видишь ли эти стены? За ними мы все живем, И если мы их не разрушим, То заживо здесь сгнием. Давай разрушим эту тюрьму И если ты надавишь плечом Руки мои в морщинах, Я знаю, они гнилые, Давай разрушим эту тюрьму И если ты надавишь плечом Деда давно не слышно, И когда кто-то проходит мимо, Давай разрушим эту тюрьму И если ты надавишь плечом |
«Un jour, mon grand-père m’a dit, Quand l’aube pointait au loin, Nous étions debout près de la porte, Et des chariots se traînaient devant.Tu vois ces murs? Nous vivons tous derrière eux, Et si nous ne les détruisons pas, On va pourrir vivant ici.
Détruisons cette prison Et si tu pousses de l’épaule J’ai les mains fripées, Je sais qu’ils sont pourris, Détruisons cette prison Et si tu pousses de l’épaule Grand-père , on ne l’entend plus depuis longtemps Et quand quelqu’un passe, Détruisons cette prison Et si tu pousses de l’épaule |
Pour l’autre version:
Он пел вдохновенно, он молод был, А их там было — не счесть. От песни у них прибывало сил, Он пел, что свет где-то есть. Они тысячи свеч зажгли ему, Над их головами — дым. Он пел: айда, разрушим тюрьму… Они пели вместе с ним.Зубы решеток вырви у стен! Клетки ломай, оковы рви! Пусть стены рухнут, рухнут, рухнут, Похоронят старый мир!
Скоро ту песню каждый знал, Но вот они поняли, сколько их там, Он видел ровный марш толпы, Он видит ровный марш толпы, |
Il chantait avec enthousiasme, il était jeune, Et là-bas des comme lui, ils étaient innombrables. La chanson leur donnait des forces Il chantait qu’il y avait de la lumière quelque part. Ils lui ont allumé des milliers de bougies Au-dessus de leurs têtes il y avait de la fumée. Il chantait, allons-y, détruisons la prison … Ils ont chanté en coeur avec lui.Arrache les dents des grilles aux murs! Casse les cellules, arrache les chaînes! Que les murs, s’effondrent, s’effondrent, s’effondrent, On enterre le vieux monde!
Bientôt tout le monde connaissait cette chanson, Arrache les dents des grilles aux murs! Mais voilà, ils ont réalisé combien ils étaient là-bas, Il a vu marche constante de la foule, Il a vu la marche constante de la foule, |
Et voici la version polonaise: