Cette chanson du groupe ukrainien de musique électronique aux instruments traditionnels Onuka est consacrée à la catastrophe de Tchernobyl, thème cher à la chanteuse Nata Jijtchenko puisque son père a participé à la liquidation de la centrale.
Le texte de la chanson est à l’origine un graphe fait par l’auteur de street art de Kiev Eji Konope.
Холодні будинки в різних частинах міста переховують нас до весни. |
Des maisons froides Dans différentes parties de la ville Nous abriteront jusqu’au printemps. |
Байдуже, три кілометри між нами чи триста, аби не було війни. |
Peu importe qu’il y ait entre nous Trois kilomètres, ou trois cents, Pourvu qu’il n’y ait pas eu de guerre. |
Ми зможем пережити, не переживай, У нас все є, але чогось немає. Ми зможем пережити, не переживай, У нас все є, але чогось немає, але все ж є. |
Nous pourrons survivre, t’en fais pas, Nous avons tout, mais il y a quelque chose qu’il n’y a pas. Nous pourrons survivre, t’en fais pas, Nous avons tout, mais il y a quelque chose qu’il n’y a pas, mais il y a tout. |