La musique est tirée du film « douhless » qui lui même est tiré d’un roman du même nom, sur le film je ne ferai pas de commentaire aujourd’hui, il s’agit du parcours d’un jeune banquier très superficiel qui se rend compte que sa vie vouée à la superficialité toute Moscovite est somme toute très superficielle. La chanson d’Oblomov figure également sur son album sorti à l’automne: la stabilité. Merci à Joel Bastenaire pour ses corrections.
Мы ходим по широким и узким улицам, Спускаемся в подземные переходы, И есть ощущение, что мы часть какой-то большой недоигранной коды. Мы кажемся себе теми, кем хотим казаться, Иногда мы считаем, что легче уехать, А потом – что нужно было остаться. Мы считаем себя умнее всех, кто был когда-то до нас. По количеству средств к существованию Возводим друг друга в отдельный класс. Большинство из нас считает себя умнее большинства И постоянно друг с другом о чем-то спорит. Это похоже на моду, которая была всегда. Так волнуется песок на дне моря.Мы ритмы окон, в которых нет стекол Мы ритмы улиц, которые не проснулись И всю жизнь мы хотели изменить мир к лучшему. Мы ритмы окон, в которых нет стекол |
Nous marchons dans des rues étroites et larges, Nous descendons dans des passages souterrains, Et on a le sentiment que nous faisons partie d’un grand code qui n’a pas joué sa partie. On se prend pour qui on voudrait être Parfois, nous pensons qu’il est plus facile de partir Et puis, après qu’il fallait rester. On se considère plus intelligent que tous ceux qui ont été là avant nous. En fonction de la quantité des moyens de subsistance Nous érigeons les uns dans des catégories distinctes des autres. La plupart d’entre nous se considère comme plus intelligent que la majorité Et nous passons notre temps à nous disputer à propos de tout et rien. Ça ressemble à une mode qui a toujours été là. Ainsi se meut le sable au fond de la mer.Nous sommes le rythme des fenêtres qui n’ont pas de vitre Nous sommes le rythme des rues qui ne sont pas réveillées Et toute notre vie nous voudrions changer le monde pour le mieux. Nous sommes le rythme des fenêtres qui n’ont pas de vitre |