A l’arrivée de la crise le commerce des rues s’est précipitamment déployé dans la ville. Il y a une cause pour cela : certains entreprises, usines, ont été fermés ou, à l’heure actuelle, sont sous la menace de la fermeture L’armée de chômeurs s’est augmentée et maintenant mêmes de jeunes gens démissionnés sont forcés de s’occuper de la vente. L’ouverture d’un propre bisiness exige des efforts surhumains. Il faut signer trop de documents, certificats, passer un immence nombre de fonctionnaires.Vers la fin tout désir de commencer le business s’évanouit. Mais les citoyens ont trouvé une issue sûre – vendre n’importe quoi. Et les marchandes des rues, d’habitude femmes déjà âgées, coiffées de foulards de laine et vêtues de trois couches de vêtements, si elles vendent en hiver, proposent aux acheteurs les fruits de la recolte receuillis pendant la saison d’été.Ils s’assoient sur les bancs le long des routes. Devant les comptoirs improvisés construits d’ordinaire de boîtes de carton, elles attendent patiemment les acheteurs en contemplant le torrent de voitures. Après s’être istallées dans les places les plus animées, elles vendent tout : du percil, de la pomme de terre, de l’ail, des conserves préparées à domicile. Des gens reviennent du travail et achètent volontiers ce qu’ils veulent. Heureusement que ce commerce soit autorisé malgré l’absence des conditions convenables à vendre.Le bénéfice est trop minuscule afin de gagner leurs vies, mais il complète leurs pensions des retraitées. L’utilité de leur activité pour la ville est évidente. Leur production est de très bonne qualité et les prix très souvent sont plus bas que ceux dans les supermarchés. Tout de même ces vieilles femmes et vieillards ne sont pas assurés et défendus comme il faut. Mais ils ne se désespèrent et survivent. La ville les remercie.